Bouchra Ouizguen : danser, un gage de liberté
Publié le 26/08/2016 à 10:48 - Modifié le 03/09/2016 Dominique
Ce sont les premières figures de femmes dans lesquelles elle s’est projetée. Elle, c’est Bouchra Ouizguen, danseuse et chorégraphe marocaine. Ces femmes ce sont les chikhates, ou danseuses et chanteuses de cabaret de la tradition de l’aïta. Elles ont un statut ambigüe dans leur pays, le Maroc. Elles sont désormais au coeur du travail de recherche de Bouchra Ouizguen.
D’abord, il y a eu le spectacle “Madame Plaza” qui les révèle. Puis la création de la Compagnie O en 2010, qui met en valeur, depuis, la richesse d’expression de ces performeuses d’exception, avec les spectacles “Ha”, “Ottof”, et dernièrement “Corbeaux”. Ce dernier sera représenté à Lyon les 21 et 22 septembre, dans le cadre de la Biennale de la danse, et du 24 septembre au 17 octobre, au Festival d’automne de Paris.
Les spectacles
- “Madame Plaza” [Vidéo en ligne]
- “Ha” [Vidéo en ligne]
- “Ottof” [Vidéo en ligne]
- “Corbeaux” [Vidéo en ligne, extrait]
Bouchra Ouizguen au Festival d’automne 2016
- L’édition 2016 [Site Web]
- “Corbeaux” au Festival d’automne [Site Web]
- Entretien et présentation [PDF]
Bouchra Ouizguen et les chikhates
- “Mme Plaza”, une rencontre [Article en ligne]
- “Ha”, des questions obsédantes [Article en ligne]
- “Ottof”, l’engagement pour un combat féminin [Article en ligne]
- “Corbeaux”, une expérience intense [Site web]
- Les geishas marocaines [Article en ligne]
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