TCL, un réseau pas comme les autres

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Le réseau des transports en commun lyonnais est remarquablement diversifié car il suit la topographie complexe de la Ville aux deux collines : des lignes de métro sur pneus dont une automatisée, une ligne de métro fer mixte adhérence/crémaillère, deux ficelles, l'une à voie métrique, l'autre à l'écartement inhabituel de 1,30 m, des tramways, des bus thermiques (midibus, standards et articulés), des trolleybus (là encore en trois longueurs), des midibus électriques. Il est aussi en constante modernisation, de moins en moins « lyonnais », tissant sa toile de plus en plus loin du centre ville, au-delà des 57 communes du Grand Lyon.

TCL Le petit livre orange
TCL Le petit livre orange

Trois actualités (ou même quatre) se bousculent en ce mois d’octobre

- La carte OùRA permet au 1er octobre d’utiliser le réseau TER et TCL (et aussi les Vélo’V) et préfigure REAL…
- Le projet de Réseau Express de l’Aire urbaine de Lyon entre dans une nouvelle phase : Saint-Etienne Métropole, le Conseil général de l’Ain, la récente Communauté d’agglomération de Porte de l’Isère qui réunit vingt communes dans la zone d’attraction de Bourgoin-Jallieu et l’Isle d’Abeau viennent de rejoindre le Conseil régional Rhône-Alpes, les conseils généraux du Rhône et de l’Isère, le Grand Lyon, les Communautés d’agglomération de Villefranche et du Pays Viennois, la Sytral, la SNCF et RFF. REAL, c’est le RER à la lyonnaise…(cf Le Tout Lyon du 28 juillet 2007 et Le Progrès du 23 octobre 2007). Le REAL donnerait lieu à la création d’un syndicat mixte de transport type SRU, qui aurait l’avantage d’obliger tous les services de transports de la région urbaine de Lyon à se coordonner…
- Le Schéma Régional des Services de Transports en Rhône-Alpes en est à mi-parcours de son élaboration avec des assises de synthèse prévues le 19 novembre prochain : La démarche d’élaboration se déroule jusqu’à l’automne 2007. Elle s’appuie sur une large concertation avec les partenaires du transport et de l’aménagement du territoire dans toute la région (11 réunions locales arrêtées de fin janvier à fin mars 2007), s’inscrit dans une approche de démocratie participative par la tenue d’un atelier citoyens, et veille à être en cohérence avec les grands projets et schémas territoriaux et stratégiques de Rhône-Alpes.
- Le ligne A du métro dessert Vaulx-Velin/La Soie depuis le 1er octobre : elle facilite la vie de milliers d’habitants de l’Est lyonnais, mais symboliquement elle participe très concrètement du lancement du grand projet Carré de Soie. Au Carré de Soie, le métro, le tramway T3 et le pôle bus forment le nouveau pôle multimodal de l’est lyonnais.
- L’ouverture le 20 octobre à la mairie de Caluire-et-Cuire de l’enquête publique concernant le projet Cristalis C1/C2, prolongement de la ligne de trolleybus existante C1 entre Lyon Part-Dieu Est et Caluire-et-Cuire via la Cité internationale.

Quelques dates

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Tramway OTL à cheval
Fonds Sylvestre, 1890

1837 : Apparition du premier véritable service urbain à Lyon.

1855 : Claude-Marius Vaïsse, maire de Lyon de 1853 à 1864, surnommé le « Hausmann lyonnais », crée la Compagnie Lyonnaise des Omnibus

1862 : Inauguration du funiculaire de la Croix-Rousse, la première « ficelle » (en référence au câble qui tracte), qui va de la rue Terme au boulevard de la Croix-Rousse. Longue de 489 m, elle est tractée à la vapeur puis électriquement en 1915. Le funiculaire rencontre un immense succès, avec 4 millions d’usagers transportés en 1880. Contrairement à la légende, il ne s’agit pas d’une première mondiale : Robert Stephenson, fils de George Stephenson, avaient été l’ingénieur d’un funiculaire entre Londres et Blackwal, en service dès 1840.

1862 : Plasson et Chaize lancent les bateaux-mouches sur la Saône (construits dans le quartier de la Mouche à Lyon, d’où leur nom).

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Tramway à vapeur CLT
Fonds Sylvestre, 1890

1873 : Création de la compagnie de Fourvière Ouest Lyonnais, qui prend le nom de Société anonyme du Chemin de Fer de Lyon à Fourvière et à Saint-Just, qui commence les travaux de « sa » ficelle en 1875. La ficelle de Saint-Jean-à Saint-Just (en passant par les Minimes), qui mesure 822m pour une dénivelée de 97m, est ouverte au public le 8 août 1878. Elle connait le même succès que celle de la Croix-Rousse. Pour remplacer la machinerie vieillissante, la FOL décide d’utiliser un système à crémaillère qui sera mis en service en 1901, rénovée en 1938, abandonnée pour un nouveau funiculaire électrique « classique » à grande capacité en 1958, rénové en 1986.

1879 : Naissance de la compagnie de Omnibus et Tramways de Lyon . L’OTL expérimente la vapeur à partir 1888, puis se tourne vers l’électricité en 1894. La compagnie exploite ses lignes en concurrence acharnée avec la Compagnie Lyonnaise des Tramways et la FOL. L’OTL absorbe la Société des Tramways d’Ecully en 1899, la CLT (devenue la Nouvelle Lyonnaise des Tramways) en 1906, la FOL en 1909, les compagnies du funiculaire de Croix-Paquet et du tramway de Caluire en 1914. L’OTL possède alors le quasi-monopole des transports publics sur Lyon.

1891 : Une troisième ficelle est mise en service par la Compagnie de Lyon Croix-Paquet à Lyon Croix-Rousse, sur un tracé plus à l’est, reliant la place de la Croix-Paquet de la Croix-Rousse. Longue de 512m, elle est tractée à vapeur, puis électriquement en 1908, à crémaillère en 1974 entre Croix-Paquet et Hôtel de Ville, par adhérence en 1984 entre Croix-Rousse et Cuire. Elle est en 1891 directement concurrente de la première ficelle et c’est la guerre des prix.

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La Guillotine
Fonds Sylvestre, 1900

La Compagnie des Tramways de Lyon à Neuville ouvre sa ligne, qui deviendra populaire en 1932 sous le nom de « Train bleu ». Auparavant, elle était surnommée “la Guillotine” : La voie était posée sur la chaussée routière, non pas du côté de la rivière mais vers l’intérieur des terres, où elle coupais sans aucune visibilité de nombreuses rues transversales, débouchés de cours et de maisons. De fréquents accidents, parfois mortels, survenaient…ce qui valut rapidement aux locomotives du tramway de Neuville, à la silhouette haute et étroite, le surnom de “Guillotine”. J. Banaudo.

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Le funiculaire de Saint-Paul
Fonds Sylvestre, 1910

1900 : La FOL, qui en a obtenu en 1896 la concession, met en service une quatrième ficelle qui relie Saint-Jean à Fourvière. Sur 431 m dont 400 m de tunnel, la nouvelle ficelle franchit une pente de 27% à 31%. Elle a autant de succès que ses trois grandes sœurs. A noter que l’écartement de la voie est de 1m puis 1,3m en 1900, au lieu de 1,440m comme les autres, à écartement standard. Sa traction est électrique dès l’origine.

Voici la même année la 5e et dernière ficelle : celle de Saint-Paul à la Tour métallique, relayée par un tramway jusqu’au cimetière de Loyasse. Elle a été concédée à la Société du Chemin de fer de Lyon-Saint-Paul à Fourvière et Loyasse. Elle est longue de 514m, à traction électrique dès l’origine. Elle comporte une remorque-corbillard située en fin de convoi, les familles prenant place devant, ce qui est tout à fait inhabituel. Peu rentable (sauf à la Toussaint) et souffrant de problèmes techniques, elle est arrêtée en novembre 1940.

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Loyasse et le viaduc du tramway
Fonds Sylvestre, 1900

1924 : L’OTL s’offre 50 magnifiques bus rouges.

1936 : Les premiers trolleybus font leur apparition. Lyon devient la capitale du trolleybus quand l’OTL inaugure en 1952 à Vaise le plus grand dépôt de France. En 1958, le parc compte 344 trolleybus.

1941 : La ville de Lyon et le département du Rhône crée le Syndicat des Transports en Commun de la Région Lyonnaise (TCRL), propriétaire de l’ensemble des installations et du matériel roulant, qui confie l’affermage du réseau à l’OTL pour 25 ans. L’OTL absorbe la compagnie du « Train bleu ».

1956 : Fin du tramway à Lyon.

1963-1970 : Montée en puissance des autobus (338 en 1963), moins coûteux pour desservir les banlieues qui se sont considérablement développées sous le mandat du nouveau maire Louis Pradel. Les transports en commun traversent donc à la fin des années 60 une période difficile : pour les décideurs, l’avenir est au transport motorisé individuel. En 1967, la première ficelle de la Croix-Rousse (celle de 1862) est désaffectée et son tunnel devient routier. L’OTL prend le nom de Société des Transports en Commun Lyonnais (dite les TCL). On pense à supprimer la ficelle de Fourvière, vieillissante, mais Monseigneur Renard, archevêque de Lyon, ayant protesté, on décide de la rénover (1970 puis 1989).

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Tramway ambulance de
l’Hôpital militaire Desgenettes
Fonds Sylvestre, 1890
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Tramway et militaires
Fonds Sylvestre, 1914

1968-2007 : Bien qu’ex-expert automobile, c’est Louis Pradel qui lance le chantier du métro. Il fonde en 1968 la Société d’Études du Métro de l’Agglomération Lyonnaise (société d’économie mixte), qui ouvre le chantier en 1973. En 1974, on inaugure un chemin de fer à crémaillère Strub, qui remplace le funiculaire de Croix-Paquet à la Croix-Rousse. En 1978, les lignes A et B du métro sont en service, le chemin de fer à crémaillère de la Croix-Rousse devient une portion de la ligne C, prolongée jusqu’à Cuire en 1984. En 1991, les funiculaires sont intégrés au réseau du métro. La ligne D, inaugurée en 1993, est prolongée jusqu’à Vaise en 1997.La ligne B est prolongée de Jean-Macé à Gerland en 2000, la ligne A rejoint le Carré de Soie à Meyzieu en 2007.

1976 : Renouvellement de la concession, la Sté des TCL devient la SLTC, TCL n’est désormais plus qu’une marque.

1985 : Le Syndicat des TCRL devient le SYTRAL, SYndicat mixte des Transports pour le Rhône et l’Agglomération Lyonnaise.

2001 : Inauguration des deux premières lignes T1 et T2 du nouveau tramway lyonnais, qui seront prolongées en 2003 et 2005. Ouverture d’une troisième ligne T3 en 2006 jusqu’à Meyzieu.

La situation en 2007

- Le SYTRAL est une autorité réunissant le Grand Lyon et le conseil général du Rhône. Son rôle est d’élaborer et de mettre en œuvre la politique des transports de l’agglomération en choisissant et réalisant les investissements correspondants ou en déterminant la politique tarifaire. Son président est Bernard Rivalta. Il délègue l’exploitation du réseau à la SLTC, filiale du groupe Kéolis, né de la fusion en 1999 de VIA GTI et de Cariane, filiale de la SNCF spécialisée dans le transport urbain. Le SYTRAL élabore le PDU, le plan de déplacement urbain. La deuxième version de 2005 donne la priorité à la diversification des modes de déplacements, l’équité, la sécurité, la qualité de vie, la concertation et la communication. Le SYTRAL a par ailleurs signé en février 2006 le PDE dont l’objectif est de diminuer les trajets en voiture “solo” en sensibilisant les personnes aux déplacements “doux”.
- Depuis le 1er janvier 2005, la gestion du réseau est confiée de nouveau à la SLTC devenue Kéolis (Kéolis-Lyon), détenu à 43% par la SNCF, qui l’a emporté sur TRANSDEV-RATP. Kéolis-Lyon emploie 4 200 personnes.
- La Semaly poursuit le développement du réseau sous le nom d’Egis-Rail, depuis le 1er juin 2007
- TCL est la marque commerciale du réseau de transport.

Et après ?

- 2008-2009 : signalée dans un article du Tout Lyon du 3 août 2007, l’augmentation de la capacité de la ligne D, saturée, par un nouvel équipement des rames selon un « diagramme anglo-saxon »
- 2009 : Après MAGGALY (la ligne D Métro Automatique à Grand Gabarit de l’Agglomération Lyonnaise, après LEA (le T3, Ligne de l’Est de l’Agglomération), voici LESLYS, le tramway de l’Est, dont la concession a été attribuée à RhônExpress pour 30 ans. La belle effectuera en 25 mn la liaison Part-Dieu à l’aéroport de Lyon/Saint-Exupéry en partageant sur 13 km les rails de LEA.
- 2009 : Le T4, 4e ligne du tramway reliera la place Mendès-France, dans le 8e arrondissement, à Feyzin (Cliniques) en passant par Vénissieux (Hôtel de Ville, Minguettes). Elle se caractérisera par un tracé « vert », fleuri, bordé d’arbres et longé de pistes cyclables, engazonné à 80%. Cette nouvelle ligne offrira des connexions avec la ligne D du métro, le bus, le tram T2 et la ligne de train SNCF. A terme, le tramway T4 sera prolongé jusqu’à la Part-Dieu.
- 2012-2013 : La ligne B du métro va tracer de Gerland à la gare d’Oullins, traversant le Rhône en aval du confluent en passant via un tunnel ou des caissons immergés.Elle deviendrait automatique.

Les TCL et leurs clients : des relations complexes

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Accident de tramway de Neuville
Le Progrès illustré (24/07/1892)

Début 2007, le SYTRAL a publié les résultats de l’Enquête ménages déplacements 2006 de l’aire métropolitaine lyonnaise : L’usage des modes selon les secteurs de résidence fait apparaître trois grandes tendances.
Au centre de l’agglomération lyonnaise, les pratiques très urbaines des habitants sont liées à la densité de l’habitat et des services : ils utilisent davantage la marche à pied, les TCU et le vélo mais moins la voiture. Les habitants du reste du Grand Lyon ont des usages plus caractéristiques de proche périphérie : un moindre usage de la marche, un usage plus important de la voiture mais un usage des TC encore fort. Enfin, les habitants des 7 autres secteurs limitrophes du Grand Lyon présentent entre eux des répartitions modales assez similaires : un usage à plus de 70% de la voiture, un usage des TC non urbains pouvant aller jusqu’à 6% dans l’Ain, et un faible usage des TCU, ne dépassant pas 3%.
: au moins dans le Grand Lyon, l’usage des transports en commun est en hausse de 2% depuis la dernière enquête (et même de 9% sur la période 1995-2006), au détriment de la voiture, ce qui va dans le sens d’une satisfaction des clients des TCL, appréciant la qualité du service qui leur est rendu. Le réseau lyonnais est moderne et attractif et le premier des villes de provinces en terme d’offre par habitant.

Dans la base en ligne du journal Le Progrès, édition de Lyon (Europresse, consultable sur les postes du réseau de la Bibliothèque), les mots « grève et TCL » ramènent 1 040 articles depuis 1997… A ceci s’ajoutent des dossiers comme celui du mensuel Lyon Capital intitulé « Les TCL, champions de France des grèves » (avril 2004). Comparant l’état de l’art dans 10 grandes villes françaises, sur trois années, Guillaume Lamy repère 65 jours de grève pour les TCL contre 40 à 35 pour Montpellier et Nancy à la deuxième et la troisième place. Guillaume Lamy y diagnostique un manque de dialogue social au sein de l’entreprise. Les grèves ciblées les jours de fête, en 2003 et 2006 pour la Fête des lumières, déclenchent la fureur noire des lyonnais et des nombreux étrangers venus passer le week-end à Lyon, pris dans des embouteillages indescriptibles.

Le dialogue social s’est-il amélioré depuis 2004 ? Le 21 juin 2007, la fête de la Musique échappe à la grève grâce à un accord conclu entre la direction et les syndicats CGT, FO et CFE-CGC. En outre, de nombreuses grèves ont eu pour motif des problèmes d’insécurité. Or, le bilan en 2006 de la création d’une Direction de la sécurité au TCL est positif. Selon Frédéric Poignard du Figaro, Lyon a copié Birmingham, avec 3 500 caméras : Originalité lyonnaise, précise le directeur de la sécurité des TCL Jean-Pierre Thiesson, la police nationale peut prendre la main sur ce parc de vidéosurveillance. Et visionner elle aussi en direct les images depuis son centre d’information et de commandement ou depuis le centre opérationnel de défense, qui coordonne l’action des pouvoirs publics en cas de crise, depuis les sous-sols de la préfecture de la Région.
Amélioration de la sécurité,Loi sur le dialogue social et la continuité du service public… les lyonnais retiennent leur souffle pour le 8 décembre 2007.

Bibliographie

- Etat d’avancement des projets sur le site du SYTRAL

- Les transports dans l’aménagement urbain à Lyon, de Christian Montès (2003) qui répond à la question suivante : les déplacements et leur aménagement sont-ils subsidiaires, intégrés ou centraux aux projets de développement urbain ?

- Louis Pradel, maire de Lyon, de Laurent Sauzay. Cet ouvrage apporte un éclairage intéressant sur les réalisations de Louis Pradel. Il explique en particulier la génèse du “mille-feuilles”, l’échangeur de Perrache, construit en 1973 : la SNCF s’opposa à ce que le métro passe sous la gare. Du coup, l’échangeur avait nécessairement au moins un niveau. De dérive en dérive, c’est une monstruosité de 4 étages qui s’élève…

- Histoire des transports urbains à Lyon, de G. Bouchard, 1997. Une bande dessinée qui balaie l’histoire des transports lyonnais de 1837 (premier service urbain) jusqu’à la mise en service Maggaly, métro intégralement automatisé de la ligne D (1992) et le premier PDU (plan de déplacement urbain)


- Le chemin de fer de Lyon à Vaugneray. Histoire des transports Fourvière-Ouest lyonnais, de R. Clavaud, J. Perenon, R. Chappelet, 2007. Cet ouvrage traite largement de l’histoire des transports en commun du lyonnais, en particulier des différentes compagnies qui se partagèrent le réseau depuis l’origine. De grandes parties sont consacrées à la description du matériel roulant et des installations fixes.

- Sur les rails du Lyonnais. Les réseaux secondaires, tacots, ficelles et métro, de J. Bonaudo, 2002. Traite de l’histoire des ficelles, de celle des tramways, du chemin de fer de l’est lyonnais, qui correspond en partie aujourd’hui à l’emprise de la ligne T3 du tramway.

- Lyon, du Tram au Tram par Jean Arrivetz, 2001. L’histoire des trams et (encore…) celle des ficelles.



- Le Train Bleu, histoire des transports Lyon-Fontaines-Neuville, par R. Clavaud, J. Perenon, R. Chappelet, 2003.

- Autour du nouveau tramway lyonnais, retour sur une politique locale de transports urbains, mémoire réalisé sous la direction d’André Vianès

- Le Projet périurbain d’amélioration de la desserte de l’ouest lyonnais… Il a fait l’objet de la création d’un comité et de la signature d’une convention entre la Région Rhône-Alpes et la SNCF et prévoit la mise en service de tram-trains qui partiront de la gare Saint-Paul. Selon le journal Le Tout Lyon du 20 octobre, 24 tramways périurbains, 200 rames, seraient mis en service sur les branches de Sain-Bel et de Brignais à l’horizon 2011-2012.

- Un site dédié à MAGGALY, la ligne D

- Sur le site du Musée des transports urbains, l’histoire des trolleybus de Lyon et l’histoire des tramways

- Le site Projet Metro Lyon en 2030 : attention, ce n’est pas un site officiel mais une utopie, fruit de l’imagination de Michel Lamotte-Crépet, président d’un organisme imaginaire, la SMITRALY

- Un site consacré aux bus et cars du réseau TCL, avec forum, de très nombreuses photographies et des dossiers techniques :Tecelyon.info

- Photothèque de la Médiathèque Part-Dieu V1.5, avec plus de 300 photographies et une invitation à la Fête des transports le 27 octobre prochain.

- Lyon en ligne, actualité des transports sur Lyon et la région, forum et une liste de liens.

Le Tram de la Confluence, quelle clientèle potentielle ? voir

Quels surnoms ont été donnés aux 2 premières lignes du tramway ? voir

Quelle amende peut-on avoir quand on transporte son vélo dans le métro ? voir

Quel schéma d’aménagement du métro à sa construction ? voir

Quand ont circulé le funiculaire et le tramway de Loyasse ? voir

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